Assise sur le crépuscule, je sirotais le soleil pourpre..le sel n'avait jamais été aussi amer et les pulsations si moites.
Mes poumons tangaient au rythme de l'implosion des âmes et mes cheveux miroitaient l'avenir sans lendemain. Dans la panacée, au quatrième sous sol de ma raison, une voix hurlait les prophéties perdues. Le brouhaha suave s'émancipait.. C'est ainsi que dans les bas fonds, on pouvait tous entendre la nuit.
Dans un autre lieu, à une autre heure, un funambule rebrousserait chemin.